- Article de bases documentaires
|- 10 sept. 2024
|- Réf : E4210
Cet article donne une revue des systèmes de télécommunications optiques spatiales. Ces systèmes sont envisagés pour certaines applications spatiales comme le transfert de données massif ou encore internet par satellite. L’article décrit les principaux sous-systèmes composant le lien optique, notamment la chaîne de communication, mais aussi la tête optique dont il explique le calcul du gain. La méthodologie pour clore le bilan de liaison pour les liens à faible dynamique est introduite. L’article mentionne ensuite les liens à haute dynamique, principalement due à la turbulence atmosphérique, et les moyens de s’en accommoder. La mise en place d’un lien optique est présentée. Pour finir, l’article discute de la capacité et de la disponibilité de ces systèmes.
- Article de bases documentaires
|- 10 mai 2024
|- Réf : E7560
Depuis 1957, la réglementation internationale qui gouverne l’ensemble du domaine spatial, rédigée par les pays membres de l’ONU/UIT, se limite à émettre des recommandations relatives aux activités scientifiques et commerciales. Elle traite essentiellement des positions orbitales, des attributions de fréquences et de la puissance des signaux. Aux satellites géostationnaires des premières années (GEO), sont venues s’ajouter des constellations de satellites défilant, en altitudes basse et moyenne, sur des plans non polaires. L’ensemble vise à répondre aux besoins grandissants des communications numériques du service fixe (FSS) et du service mobile (MSS), ainsi qu’aux mesures à caractère scientifique nécessaires en particulier à la géolocalisation et aux objectifs de développement durable.
- Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
|- 10 mars 2023
|- Réf : RE451
Cet article présente une nouvelle approche pour l’évaluation de la fiabilité et de la capacité de performance en fin de vie d’une constellation de satellites inspirée d’une constellation de communication de référence de Thales Alenia Space (TAS). Ce travail a été réalisé dans le cadre d’une coopération entre les équipes fiabilité système de TAS et des étudiants du parcours Sciences et Défis du Spatial de l’École polytechnique au cours de l’année scolaire 2020-2021. Le projet a été coordonné par David Mailland (TAS) et a bénéficié du support de Michel Batteux (IRT-SystemX).
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 12 nov. 2012
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- Réf : 1062
Vous voulez savoir si les réseaux sociaux qu’utilisent les chercheurs peuvent être utilement intégrés au périmètre de votre veille ? Pour cela, il vous faut identifier leurs apports et leurs limites pour la recherche scientifique.
La notion d’échange et de sociabilité scientifique a souvent été une dimension importante de la recherche, depuis les anciennes communautés savantes jusqu’aux réseaux socionumériques actuels.
La présente fiche permettra de déterminer comment les réseaux sociaux pour les scientifiques peuvent être valorisés dans une démarche de veille, en répondant à plusieurs questions :
- Quelle est l’implication des acteurs de la recherche ?
- Quel est le paysage des réseaux sociaux en émergence ?
- Quels usages les chercheurs font-ils des réseaux sociaux ?
- Quels contenus les réseaux sociaux véhiculent-ils ?
Toutes les clefs pour maîtriser la veille technologique
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 02 oct. 2016
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- Réf : 1582
Les contraintes générales des systèmes d’information se posent de manière particulière s’agissant d’objets qui, pour la plupart, ne disposent que de capacités propres limitées (énergie, mémoire, processeur, communication). Il faut cependant prendre garde : les objets vont eux-mêmes évoluer et gagner en capacité de communication et en intelligence embarquée. De plus, les objets doivent être de taille et de prix réduits. En dernière analyse, si tous les types d’objets peuvent participer à un même service, leurs informations pourront utiliser des canaux plus ou moins protégés. Une fourchette connectée ne justifie pas les mêmes efforts qu’un dispositif implanté, même s’ils participent tous deux à un même service final.
Toutes les clefs pour maîtriser la veille technologique
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 07 nov. 2023
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- Réf : 1814
Utilisé pour chauffer de grands bâtiments en copropriété ou tertiaires, un réseau de chaleur et de froid est un réseau de distribution de l’énergie, produite de façon centralisée, à plusieurs usagers pour le chauffage des bâtiments. Les sources d’alimentation en énergies de ces réseaux peuvent être renouvelables et de récupération (EnR&R) et permettent de diminuer les émissions de gaz à effet de serre, de façon locale et intégrée à un territoire. Les réseaux permettent de centraliser la production de chaleur ou de froid et de limiter les risques de sécurité qui lui sont liés, ainsi que de réduire les impacts environnementaux.
En France, on compte plus de 500 réseaux de chaleur desservant environ 6 % de la production nationale de chaleur, soit 2 millions de personnes (hôpitaux, lotissements, grands bâtiments en copropriété ou tertiaires…) sur l’ensemble du territoire (réseaux ruraux et urbains).
Chaque réseau est constitué d’un circuit de distribution primaire (public) qui transporte la chaleur depuis l’unité de production jusqu’aux sous-stations d’échanges. Ces dernières assurent l’alimentation en chauffage des bâtiments par un réseau de distribution secondaire (privé : circuits de chauffage et eau chaude).
Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.